Mar 1, 2017
Carnet de voyage : Mon été sicilien (1/3)
Carnets de voyage Sicile 1Lire dans Dîn wa Dunia de mars 2017
More DetailsDans le quartier historiquement militant d’Exarcheia, le centre associatif Khora offre chaque jour à environ 300 migrants et demandeurs d’asile des squats alentours des services sanitaires, un lieu de détente pour occuper les enfants, une cafétéria et, besoin essentiel des demandeurs d’asile, des renseignements juridiques.
Chaque semaine, deux séances de « legal clinic » y sont organisées par l’ONG Advocates Abroad, créée par Ariel Ricker pour donner une information juridique de qualité aux demandeurs d’asile, lors d’entretiens privés. « Tous les documents qui leurs sont donnés [par les autorités] sont en grec », déplore-t-elle. Advocates Abroad tente donc d’expliquer la procédure et les options qui se posent aux demandeurs d’asile, avec 220 membres, « certains à plein temps, d’autre à mi-temps ».
More DetailsPerchée sur le Mont San Giuliano, un piton rocheux à 900 mètres d’altitude, Enna, surnommée à juste titre le « Belvédère de la Sicile », abrite chaque année la fête de la Madone de la Visitation, sainte patronne de la ville. Une tradition séculaire haute en couleurs et en symboles. Arrêt sur images.
More DetailsLa route des Balkans est devenue un goulot d’étranglement pour des milliers de migrants et réfugiés. La Croatie récupère de nombreux expulsés, tandis que la Slovénie renforce sa frontière. En Serbie, les camps sont arrivés à saturation et la mairie de Belgrade déplace le millier de migrants qui campe dans son centre.
More DetailsBCT – Quels statuts pour la Banque centrale de Tunisie? La banque des banques, actuellement responsable devant le président de la République et l’Assemblée des Représentants du Peuple, doit, selon le projet de loi du gouvernement, agir en pleine indépendance.
Mais la question a divisé la majorité parlementaire samedi 9 avril dernier, mettant le gouvernement en minorité, avant que l’exécutif ne fasse revenir les députés sur l’essentiel de leur vote ce lundi 11 avril.
More DetailsÉTRANGERS – A l’aéroport Mohammed V de Casablanca, après avoir passé la douane, les voyageurs s’élancent dans le grand couloir menant vers la salle des bagages. Soulagés de leur pesante formalité, ils ne remarquent pas sur leur gauche une salle d’attente aux bancs renversés. La buvette qui la borde ne les attire guère, pressés qu’ils sont de quitter l’aéroport.
Mais une dizaine de silhouettes hagardes s’y attardent pourtant. Ce sont les étrangers refusés d’entrée sur le territoire. Pour eux, la formalité n’en était pas une. Entre la vitre teintée donnant sur une autre salle de contrôle des voyageurs et le couloir où le flot des voyageurs plus chanceux ne s’interrompt jamais plus de cinq minutes, cette pièce à trois murs d’environ 10 mètres sur 4 abrite des profils tous très différents.
More DetailsHEZBOLLAH – Les réactions se succèdent en Tunisie ce jeudi 3 mars après que le ministre de l’Intérieur Hédi Majdoub a consenti la veille et sans exprimer de réserve à la classification du Hezbollah parmi les organisations terroristes, à l’occasion du 33e conseil des ministres de l’Intérieur arabes, qui s’est ouvert à Tunis le 2 mars.
Au-delà des internautes, les réactions de différentes personnalités publiques ne se sont pas faites attendre, mettant tantôt l’accent sur l’hommage à la résistance contre Israël, tantôt sur les critiques de l’alignement sur les positions des pays du Golfe, Arabie saoudite en tête, en conflit larvé avec l’axe chiite Iran-Hezbollah-Syrie de Bachar Al-Assad).
More DetailsKASSERINE – Jeudi 21 janvier, à la mi-journée, l’avenue Habib Bourguiba à Kasserine est encore calme, mais porte les stigmates des affrontements de la veille, là où l’asphalte est noir de suie et de cendre. La police n’apparaît nulle part, sur la longue avenue Bourguiba, ni même devant la mairie.
Au contraire, la municipalité est comme submergée par une foule compacte, qui s’agglutine à ses trois accès: la porte officielle, la fenêtre quelques mètres à côté, et même la porte de la cour, derrière la grille.
More DetailsCollé contre la frontière, sur un grand parking envahi de marchands ambulants, le marché informel de Joutia, tout près du poste-frontière de Bni Ansar, principal point de passage dans l’enclave espagnole, au Sud, fait figure de sas entre le Maroc et l’Espagne. On y trouve des produits généralement d’occasion (vêtements, chaussures, jouets, bijoux bas de gamme) sur des bâches posées à même le sol. Les commerçants crient en darija leurs prix, le plus souvent en dirhams, quelquefois en euros, à une clientèle presqu’entièrement marocaine. A l’entrée de ce marché aux allures de Derb Ghallef casablancais ou de Casa Barata tangérois à ciel ouvert, des femmes en jellaba, assises sur un tabouret, vendent des cigarettes à l’unité, tandis que des hommes vendent des gâteaux, barres chocolatées et boisson gazeuses qu’ils stockent dans des caddies de supermarché que seul un parasol vient protéger du soleil.
More DetailsLe câble, sobrement intitulé Outgoing code cable et envoyé à Edmond Mulet, sous-secrétaire général aux opérations de maintien de la paix de l’ONU, revient sur les violences ayant eu lieu quelques jours auparavant à Dakhla, où, en marge d’un match de football tenu le 25 septembre 2011 entre le Mouloudia El Dakhla et le Chabab El Mohammedia, des violences avaient causé la mort de 7 personnes, « deux policiers, trois Marocains et deux civils sahraouis », précise le document.
More DetailsDu neuf dans l’affaire Amesys/Maroc : le site spécialisé Reflets.info, qui avait déjà révélé en 2012 avec l’hebdomadaire français Le Canard Enchaîné que le Maroc avait investi dans le cadre d’un projet nommé PopCorn pour deux millions de dollars (19,4 millions de dirhams) d’infrastructures de surveillance électronique afin d’espionner en masse les emails et autres communications par Internet à l’échelle d’un pays tout entier auprès de l’entreprise française Amesys, a publié le 9 mai dernier des facs-similés d’Amesys attestant de pareilles acquisitions par le Maroc dans le cadre du projet PopCorn.
More DetailsC’est après environ huit heures d’attente à l’aéroport de Casablanca que la délégation israélienne a pu poser le pied au Maroc, une attente que le site du Jerusalem Post décrit comme ayant eu lieu « dans une pièce sans nourriture ni eau ou chaises, avec des représentants des forces de l’ordre qui prétendaient qu’il y avait un problème avec leur visa ». Une photo publiée par cette délégation et présentée comme prise à ce moment-là illustre cette attente (voir à droite). L’Office national des aéroports, contacté par Telquel.ma, n’a pas été en mesure d’infirmer ni de confirmer cette déclaration.