Entre la croissance et l’inflation, le dilemme des autorités monétaires égyptiennes est tranché. La Banque centrale égyptienne a décidé le 3 mai de maintenir à 10,25 % son taux de prêt et à 9,25 % son taux de dépôt.
La croissance est pourtant loin d’être revenue, avec seulement 0,3 % de hausse du produit intérieur brut au dernier trimestre 2011, au terme d’une année particulièrement morose. Rien que sur le premier trimestre, le PIB égyptien s’était contracté de 4,3 points, en grande partie du fait des troubles politiques et de la révolution. Les estimations situent à 3 % la croissance attendue pour 2012.
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