Contrainte par l’explosion de ses importations alimentaires, l’Algérie vise l’autosuffisance

L’agriculture, parent pauvre de l’économie algérienne ? Le potentiel du secteur, sous-exploité, intéresse le ministre de l’Agriculture, qui rêve de réduire de 30% la part des importations dans les dépenses alimentaires nationales.

C’est tout le paradoxe algérien : alors que le pays exporte du pétrole et du gaz, notamment à la France (son premier partenaire commercial), le solde commercial franco-algérien est nettement favorable à Paris… En 2011, c’est € 1,3 milliard d’excédent commercial que la France a enregistré dans ses échanges avec l’Algérie. Derrière les biens d’équipement, les produits agricoles et agroalimentaires, emmenés par les céréales et les produits laitiers (50 % des importations agroalimentaires), y sont pour une part non négligeable. Toutefois, ils sont encore loin derrière les biens d’équipement, qui représentaient 39 % des importations algériennes en 2010, contre 15 % pour les biens alimentaires.

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