L’Open Data au service du développement en Afrique, des efforts louables mais poussifs

La publication des données des administrations publiques permet une plus grande transparence de l’action publique, notamment en matière d’aide au développement et de renforcement démocratique. Cependant, les portails existants montrent leurs limites.

Carte des infrastructures du quartier délaissé de Tandale, à Dar Es Salaam, en Tanzanie

Carte des infrastructures du quartier délaissé de Tandale, à Dar Es Salaam, en Tanzanie

Dans la lutte contre la corruption en Afrique, les nouvelles technologies pourraient bien apporter un atout décisif. L’Open Data, compris comme la libération des données publiques dans un format utilisable par tous, a le mérite de jeter un coup de projecteur dans le détail des dépenses publiques. Chaque citoyen, et a fortiori la presse, peut consulter les choix budgétaires des ministères, institutions internationales et administrations locales qui se seraient prêtées à cet exercice de transparence.

Lire l’article complet sur le site de Marchés tropicaux et méditerranéens


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