La Tunisie se dirige vers l’annulation de ses € 15 milliards de dette contractée à l’étranger durant les années de dictature. Mais il n’est pas certain que le concept de « dette odieuse », imparfaitement reconnu en droit international, soit retenu.
La visite du président tunisien Moncef Marzouki en France semble avoir été fructueuse : la Tunisie semble bien partie pour obtenir l’annulation de sa dette contractée auprès de la France. Lors d’une conférence de presse conjointe entre les deux chefs d’État le 17 juillet à Paris, le président français François Hollande et M. Merzouki ont assuré conjointement travailler à convertir la dette tunisienne détenue par la France en projets de développements, afin de garantir sa bonne utilisation.
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