Qu’ils soient des militants ou des journalistes, tous ont un point commun: ils dénoncent avoir fait l’objet de surveillance de leurs communications.
Samia Errazouki vit à Washington. Mais lorsque cette jeune Marocaine a commencé à contribuer au site militant Mamfakinch, sa famille au Maroc a reçu la visite de la police, raconte-t-elle : « On veut que vous sachiez qu’on vous surveille, pas seulement sur Internet mais dans la réalité aussi », les a-t-on notamment avertis. Son témoignage, comme celui d’autres anciens militants du collectif Mamfakinch dans son cas, donne corps au rapport Les yeux du pouvoir de l’ONG britannique Privacy International, présenté mardi 5 mai au siège de l’Association marocaine des droits humains (AMDH).
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