KASSERINE – Jeudi 21 janvier, à la mi-journée, l’avenue Habib Bourguiba à Kasserine est encore calme, mais porte les stigmates des affrontements de la veille, là où l’asphalte est noir de suie et de cendre. La police n’apparaît nulle part, sur la longue avenue Bourguiba, ni même devant la mairie.
Au contraire, la municipalité est comme submergée par une foule compacte, qui s’agglutine à ses trois accès: la porte officielle, la fenêtre quelques mètres à côté, et même la porte de la cour, derrière la grille.
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