OVH, le leader français de l’hébergement, a annoncé l’ouverture de sa filiale sénégalaise. L’hébergeur de Roubaix, n°2 du marché en Europe, commercialisera donc des offres d’hébergement en FCFA, ce qui simplifiera la procédure pour les webmasters sénégalais et de la zone FCFA en général.
OVH annonce offrir 100 serveurs dédiés et 100 serveurs mutualisés à ses tout premiers clients, pendant un an. Une façon pour le géant de l’hébergement d’attirer l’attention sur le marché local, et de faire tester le service par les utilisateurs, face à la concurrence.
La première économie d’Afrique de l’Est évoque une possible production d’énergie nucléaire d’ici 2020.
Le Conseil national économique et social (NESC) du Kenya estime qu’à l’horizon 2020, l’hydroélectricité, principale source d’énergie pour le Kenya (65 % de son économie repose sur l’électricité hydraulique), sera insuffisante pour couvrir ses besoins en électricité.
La production de noix de cajou au Mozambique peine à retrouver sa grandeur passée, laminée par 14 années de guerre civile et par la concurrence de pays asiatiques tels que le Vietnam.
Premier producteur mondial dans les années 1970 avec plus de 200 000 tonnes par an, le Mozambique n’est actuellement qu’au quatrième rang mondial, avec 90 000 t annuelles.
Après avoir connu un passage à vide, l’exploitation du diamant reprend des couleurs en Namibie. Une exploitation minière qui se tourne de plus en plus vers la mer, le offshoring accentuant sa prééminence dans l’exploitation du précieux minerai.
Le offshore creuse l’écart avec le onshore en matière d’extraction de diamants, en Namibie. Déjà seul pays à exploiter ses diamants dans le lit marin et fluvial, la Namibie est le théâtre d’un regain d’intérêt pour ses ressources diamantifères offshore.
« La liberté de l’enseignement à distance peut finir par se retourner contre nous », assure Jérôme A., 23 ans, ancien étudiant à distance d’un DEUST puis d’une licence dans le domaine du web.
Pourtant, cette liberté l’a séduit au départ. « Etudier à domicile, ça permet de s’organiser librement, on avait du travail le lundi, à rendre au plus tard le dimanche », se rappelle-t-il. Une flexibilité qui est devenue un piège pour Jérôme : « Très vite on se laisse dépasser par le travail, faute d’encadrement et de rendez-vous réels ». Un rythme finalement difficile à tenir dans le tête-à-tête avec l’écran.
« La moitié de la promotion a abandonné au cours de la 1e année », indique Jérôme. Une situation que l’étudiant explique par la démotivation et la solitude ressentie face à son ordinateur. « Très vite, je ne sortais plus en fait. Je me levais, j’allumais mon ordinateur, et quand je l’éteignais c’était pour aller me recoucher », regrette Jérôme. « J’étais devenu un nolife », confie-t-il.
Revenu à une formation plus classique pour son master, l’étudiant apprécie le contact retrouvé avec des camarades et des professeurs physiquement présents. Mais sans pour autant se détourner des ordinateurs…
La clientèle étudiante n'est pas négligeable pour les centres Emmaüs. Photo : Antony Drugeon (CC)
Une rangée de meubles au milieu d’une vaste cour. Aux abords des hangars du dépôt-vente d’Emmaüs, à Ligugé, au sud de Poitiers, l’ambiance est un peu celle d’un souk. Quincaillerie, vaisselle, literie, livres, et meubles : l’endroit a tout d’un bon plan pour étudiant désargenté.
« Il y a pas mal d’étudiants qui viennent ici, dont pas mal d’Africains et de Maghrébins », constate Ali, compagnon d’Emmaüs chargé de la vente des meubles. « C’est parce qu’on y trouve des meubles à bas prix, de 2 à 10 € le petit meuble, jusqu’à 50 € pour les lits », explique-t-il. Fauteuils, bureaux et lits individuels sont les plus recherchés par les étudiants. De quoi faciliter l’installation dans un nouvel appartement, d’autant que les produits sont loin d’être – tous – dans un mauvais état. L’inconvénient est plutôt dans l’éloignement de Poitiers : c’est surtout à l’occasion des deux grandes braderies annuelles, en septembre et en mars ou avril, qu’Emmaüs touche la clientèle étudiante.
Le reste de l’année, l’option Emmaüs reste réservée à ceux qui peuvent venir en voiture, ou aux courageux qui marcheront un kilomètre à partir du terminus de la ligne 4. Une solution radicale, qui s’adresse aux étudiants les plus motivés par des prix défiant la concurrence des enseignes commerciales.
Antony Drugeon, correspondant La Nouvelle République, 2/03/10
Le patois picto-saintongeais se fraie un chemin dans l'édition. Photomontage : Antony Drugeon (CC)
Connaissez-vous la « coçhue » ou la « tiche » ? Il s’agit tout simplement du pissenlit, en poitevin –saintongeais. Au jardin botanique du parc Deffand, l’université de Poitiers sort le patois, pardon, les langues régionales, du strict cadre des cours optionnels pour les étudiants. Une démarche encore timide, puisque limitée aux mauvaises herbes, pardon, aux « herbes folles ». Mais qui libère dans l’espace public des mots qui peinent à sortir des chaumières, et ce depuis 2007.
« Les visiteurs connaissent parfois ces mots, mais n’osent pas les dire, tant qu’ils ne les ont pas lu », explique Liliane Jagueneau, responsable de l’enseignement des langues régionales à la faculté des Lettres et des Langues de Poitiers. Une opération de réhabilitation pour des langues souvent déconsidérées. « Le nom français n’est pourtant pas plus légitime que le nom patois », renchérit Pascaline Iannotti, responsable du service espace vert et jardin botanique de l’université, « car seul le nom latin a une portée scientifique officielle ».
L’étiquetage des herbes folles du jardin botanique part donc à la rencontre des parlers des jardins et champs de la région. La formule libère même la parole de certains visiteurs. « Les gens discutent les termes, à cause des nombreuses variations », explique Mme Ianotti. « L’objectif c’est que les gens en parlent », justifie Mme Jagueneau.
Sur les étiquettes des herbes folles, ce sont donc plusieurs variantes de noms de poitevin-saintongeais et généralement un nom occitan. Histoire de permettre aux visiteurs de se cultiver au jardin botanique, sans oublier leurs racines.
Antony Drugeon, correspondant La Nouvelle République, le 23/02/10
2009, année d’élections législative disputées et de l’établissement historique de relations diplomatiques entre la Syrie et le Liban, promettait d’être un tournant. Mais les recettes et les blocages qui font les rouages de l’actualité libanaise se sont parfaitement maintenus.
2009 s’est donc achevé sans coup de théâtre au pays du Cèdre. Après l’instauration officielle de relations diplomatiques entre la Syrie et le Liban, la tension est remontée à mesure qu’approchaient les élections opposant les deux camps rivaux qui se partagent le pays. La guerre civile qui avait été sur le bord d’éclater en mai 2008 rejaillissait dans les esprits, alors que le Hezbollah avançait confiant vers une victoire tout à fait probable. Mais la montagne que d’aucuns ont dressé de ce scrutin n’aura accouché que d’une souris.
Hassan Nasrallah a reconnu rapidement la défaite de l’opposition. Crédit : Flickr / Kodak Agfa.
La victoire de la majorité sortante, dite « pro-occidentale », face à l’opposition dite « pro-syrienne », emmenée par le Hezbollah soutenu par l’Iran, a été relativement modeste. Le camp de la majorité « du 14 mars »[1] a remporté le même nombre de sièges que sous la mandature sortante. Suffisamment en tout cas pour contraindre le Hezbollah à reconnaître sa défaite. Hassan Nasrallah en personne a déclaré, le lendemain même du scrutin, à la télévision libanaise, qu’il acceptait les résultats « dans un esprit sportif et démocratique ».
Les analystes promettaient au « parti de Dieu » de récolter les fruits de son opposition à Israël en 2006, qu’il avait sublimé en finançant activement la reconstruction dans ses bastions du Sud-Liban, alors que l’action de l’Etat peinait à s’organiser. C’est même sur une victoire prestigieuse qu’était resté le Hezbollah, suite à l’accord conclu à Doha entre majorité et opposition en mai 2008. Le parti avait obtenu par l’animation violente de la rue un droit de blocage revendiqué de longue date.[2]
Le soufflé est donc retombé, mais pour laisser place à un autre suspense. Cinq mois de tractations ont ainsi été émaillés par de multiples rebondissements internes à la scène libanaise, sans qu’un gouvernement ne voie le jour.[3]
Parallèlement, la Syrie et l’Arabie Saoudite ont opéré un rapprochement aussi rapide que spectaculaire. Riyad, ferme allié des Etats-Unis, rejetant toute perspective d’Iran nucléarisé dominant la région, avait jusque-là très mal reçu la mort de Rafic Hariri, proche du régime saoudien, et dont l’assassinat a jeté de lourdes suspicions sur Damas.
Saad Hariri est parvenu à créer un gouvernement d’union nationale au terme de cinq mois de tractations. Crédit : DR.
Contre toute attente, le roi Abdallah d’Arabie Saoudite s’est rendu – pour la première fois – en Syrie, les 7 et 8 octobre 2009. Une manière de sceller la réconciliation[4], avec à la clef une déclaration commune du roi Abdallah et du président Bachar Al-Assad soulignant « l’importance de l’entente entre les Libanais qui (devraient) trouver des points communs pour servir l’intérêt du Liban et former un gouvernement d’union nationale ». La déclaration, quoique triviale, conclue vraisemblablement un accord déterminant entre les deux Etats, puisque le lendemain, Saad Hariri a annoncé être parvenu à un accord de formation de son gouvernement.
Les spéculations vont bon train sur la teneur de ce rapprochement diplomatique. Est-ce la Syrie qui rompt avec ses positions traditionnelles, et donc avec l’Iran ? ou bien l’Arabie Saoudite qui se rapproche de l’axe syro-iranien ? Quoiqu’il en soit, le Liban apparaît en filigrane suspendu aux tractations de ses puissants et nécessaires alliés. Un sort qui relativise d’autant plus la portée de la nomination de ce gouvernement.
Gouvernement dont la répartition des postes ministériels entre forces politiques était d’ailleurs définie à l’avance. L’accord de Doha de mai 2008 a en effet posé les bases de la nouvelle formule de partage du pouvoir entre majorité et opposition. La formule dite « 15-5-10 » attribue quinze portefeuilles ministériels à la majorité, dix à l’opposition et cinq au libre choix du président. La formule s’est même affinée à l’occasion des tractations pour la formation d’un nouveau gouvernement : les portefeuilles de la Défense et de l’Intérieur doivent désormais être intégrés aux nominations présidentielles, d’une part, et d’autre part parmi ces cinq « ministres présidentiels », l’un doit être un chiite approuvé par le Hezbollah et Amal. Le seuil de 11 ministres accordant un droit de véto au Conseil des ministres est ainsi atteint par l’opposition. La classe politique libanaise montre ainsi sa connaissance fine de l’art du compromis.
Rares sont les Libanais à avoir suivi avec intérêt les développements de ces querelles byzantines. La lassitude gagne le citoyen ; mais toutefois pas l’entrepreneur. Faisant fi de la crise politique, le tourisme connaît un essor tel qu’il tire l’économie libanaise vers sa première embellie économique véritable depuis la guerre israélienne de l’été 2006. Le premier semestre 2009 a ainsi vu la fréquentation touristique bondir de 46,3%, selon un rapport de la banque libanaise Byblos. Une hausse grimpant à 57% pour le mois de septembre. Dans le même intervalle, le nombre de permis de construire a atteint son record, tandis que les importations de voitures bondissaient de 48%. Economistes, banques et gouvernement s’accordent ainsi à estimer à 6% la croissance du PIB sur l’ensemble de l’année 2009.[5]
La défaite du Hezbollah aux élections aura sans doute rassuré un marché qui ne demandait de toute façon plus qu’à être euphorique. Le sempiternel compromis qui fige la majorité pro-occidentale et l’opposition menée par le Hezbollah relève finalement d’un pacte de non-agression entre deux partenaires qui ont besoin l’un de l’autre.
Le Hezbollah maintient sa capacité d’action militaire. Crédit : DR.
Dans cet accord plus ou moins tacite, la majorité « du 14 mars » rassure les marchés internationaux tandis que le Hezbollah revendique avec succès son droit à la résistance. Une posture qui vise les Libanais craignant un retour de l’armée israélienne. Prospérité contre armement, reconnaissance internationale contre popularité interne. Le contrat a trouvé une illustration flagrante dans l’une des toutes premières décisions du gouvernement. Celui-ci s’est mis d’accord le 26 novembre sur un texte reconnaissant le droit « du Liban, de son gouvernement, de son peuple, de son armée et de sa résistance », en une allusion claire au Hezbollah, de « libérer tout le territoire libanais ». Une position qui s’inscrit en porte-à-faux vis-à-vis des résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU. Mais qui prend soin de nuancer en le liant à « la responsabilité de l’Etat de veiller à assurer la souveraineté du Liban, son indépendance et la sécurité de son territoire ». La vie politique libanaise, comme avant les élections, tourne encore autour de cet équilibre impossible à trouver.
Un balancement subtil et délicat entre les deux clauses d’un contrat décidément périlleux, qui n’attend que la prochaine crise pour éclater.
[1] La coalition au pouvoir s’autoproclame « camp du 14 mars » en référence à l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri le 14 mars 2003.
[2] L’autre revendication inflexible du Hezbollah étant de pouvoir conserver son arsenal d’armes, en contradiction avec les résolutions 1701 (2006) et surtout 1559 (2004) du Conseil de Sécurité de l’ONU.
[3] Entre autres coups de théâtre, le 14 juillet, l’explosion d’un dépôt d’armes dans un fief du Hezbollah a dégénéré et manqué de virer à l’affrontement entre les soldats français de la FINUL et la population locale ; Walid Joumblatt, chef du Parti progressiste socialiste (PPS) représentant la minorité druze, a annoncé le 2 août son retrait de la coalition du « 14 mars », avant de nuancer son propos ; enfin le 26 octobre, des miliciens du Hezbollah et de Amal (autre parti chiite, allié au Hezbollah) se sont affrontés, faisant quatre blessés.
Edith et Juliette se préparent à passer Noël ensemble. Photo : Antony Drugeon (CC).
Les étudiants étrangers ne peuvent pas tous passer Noël en famille. Poit’étrangers, un programme municipal, met en contact les étudiants restant à Poitiers, et les familles souhaitant leur offrir l’hospitalité.
Edith et Juliette plaisantent déjà comme deux copines de longue date. Edith Valin, avec son mari Philippe, accueillera pour Noël chez eux, à Chauvigny, Juliette Tamoifo, étudiante camerounaise de 25 ans, à l’ICOMTEC (Institut de la communication et des Technologies Numériques, au Technopole du Futuroscope). « Cela me permet de voyager, de découvrir les autres pays », explique Edith, qui a déjà accueilli une Allemande et une Canadienne. Juliette a quant à elle opté pour la formule afin de « connaître les Poitevins et leurs habitudes ».
Un Noël placé donc sous le signe de la découverte culturelle, mais pas uniquement. « C’est une façon pour mon mari et moi de nous intégrer dans la vie locale, nous sommes arrivés récemment dans la région », ajoute Edith, assistante maternelle à Vouneuil-sur-Vienne. Au programme pour ce Noël, Edith et Juliette programmeraient bien une ballade photo, sans être encore tout à fait décidées. « En fait, c’est aussi pour nous une occasion de sortir », se réjouit Edith.
Nulle démarche religieuse donc entre M. et Mme Valin et Juliette. « C’est simplement en voulant m’assurer de ses éventuels interdits alimentaires,si jamais elle était musulmane par exemple », raconte Edith, « que nous avons appris que nous avions la même religion. ».
L’idée de participer à pareille rencontre est née presque par hasard, en ramassant un prospectus du programme Poit’étrangers pour Edith, et en recevant un email de la part de l’Université pour Juliette. « C’est une très bonne initiative », souligne Edith, qui regrette « de ne pas en avoir entendu parler avant, ailleurs en France ».
Le programme, lancé depuis 2004 par la mairie avec l’Université de Poitiers et les autres écoles de Poitiers, a permis cette année de mettre en relation 37 familles et 49 étudiants, selon Christelle Gérard, attachée administrative à la mairie de Poitiers. Une formule qui pourrait selon Juliette Tamoifo séduire encore davantage : « Je suis persuadée que ce programme pourrait séduire d’autres étudiants, nombreux sont ceux qui restent là pendant les fêtes », estime-t-elle. Un avis en forme d’invitation.
Antony Drugeon, correspondant La Nouvelle République, le 15 décembre
Carol Hitillambeau, étudiante mauricienne à Poitiers. Photo : Antony Drugeon (CC).
Pour Noël, les étudiants étrangers se retrouvent parfois seuls. Entre la famille trop éloignée, et les amis qui rejoignent la leur, les fêtes de fin d’année prennent souvent une tournure étrange. Une expérience que connaît bien Carol Hitillambeau, étudiante mauricienne en master Web éditorial, qui entame sa septième année d’études en France. « A l’île Maurice, Noël était pour moi un évènement important, avec lafamille », se souvient-elle. « Ça a changé depuis que je suis arrivée », regrette-t-elle, « Je ne fais plus vraiment Noël ».
Rentrer à l’île Maurice est pour elle exclu : en pleine saison touristique, l’aller retour lui coûterait 2000 €, le double du reste de l’année. « Et cette période de l’année est souvent celle des partiels », rajoute-t-elle. « Ça ne vaut pas le coup, surtout pour deux semaines », tranche-t-elle. De quoi changer radicalement la signification des fêtes de fin d’années. « A l’Île Maurice, Noël est très familial, et généralement on loue un bungalow près de la plage pour le nouvel an », se souvient Carol, ajoutant « on porte alors des vêtements traditionnels, on fait le grand ménage, pour symboliser le nouveau départ que représente cette nouvelle année ».
Noël serait-il devenu désormais un jour comme les autres ? « Non, malgré tout », estime-t-elle, même si elle se rappelle avoir passé un Noël « avec une amie à manger une pizza devant la série Friends ». Volontaire, elle avait même une fois pris l’initiative d’inviter tous les voisins de son immeuble pour un Noël. Une expérience qu’elle ne répèterait pas : « On était trois, un drogué, un dépressif et moi ». D’associations célébrant Noël entre étudiants étrangers, elle n’en a « jamais entendu parler ».
Mais cette année, elle sera en famille pour Noël. Pas la sienne, mais celle de Jean-Christophe, son petit ami. « C’est le troisième Noël que je vais passer avec eux, en Vendée », sourit-elle. Une solution qui permet à Carol de goûter l’ambiance des fêtes de fin d’année. Mais sans le climat de l’île Maurice, où l’été bat son plein.
Antony Drugeon, correspondant La Nouvelle République, le 15 décembre 2009